dimanche 8 septembre 2013

FAIRE LA GUERRE POUR CHANGER DE DICTATURE

Les leçons de la Tunisie , de la Libye, de l’Égypte devraient nous amener à réfléchir, comme antérieurement nos ingérences en Irak et même en Iran (destitution du Shah ).
Une analyse nous porte à penser, que la mainmise de la religion  , une économie de ces pays désertiques qui repose essentiellement sur le pétrole, et surtout une natalité et démographie galopante, sont des facteurs de forte instabilité politique et donc de transition démocratique difficile
Pour ce qui est  des atrocités commises envers les populations civiles , El Assad n'est pas un initiateur, l'histoire récente et ancienne prouve  que sur tous les continents ces exactions ont été perpétrées  de manière récurrente  et régulière. A t-on puni pour autant leur auteur.?
Afrique noire,Cambodge, Hussein qui a utilisé le gaz sarin contre les kurdes dans les années 80 !
Quand aux armes de destruction massive, n'a t-on pas utilisé largement le Napalm , en particulier au Viet-Nam.. Nous possédons l'arme atomique , si c'est pour ne jamais s'en servir , pourquoi y consacrer un budget si important ?
Examinons aussi le principe de réciprocité: imaginons , la situation tout à fait improbable dans notre pays, une révolte des banlieues ou que l'armée de la république soit obligée d'intervenir dans ces zones de non droit qui s'étendent. Aimerions nous que la Syrie ou tout autre pays  de même obédience  s' en mêle ?
C'était simplement pour dire que la cohérence et la logique de nos politiques est toute relative comme la vérité qu'ils croient détenir.
GB

 

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